De La Colombe Béarnaise

De La Colombe Béarnaise Berger Australien

Berger Australien

La santé

Pour la santé de votre chiot Berger Autralien. pas de sauts, pas de grandes balades, il doit se reposer et ne pas jouer trop longtemps avec des adultes.

Si vous avez d'autres chiens adultes, ne laissez pas votre chiot sans surveillance avec eux, car les jeux pourraient être brutaux.

Il ne doit pas monter et descendre les escaliers, portez le pour monter ou descendre de voiture.

Pas d'Agility avant l'âge d'un an.

N'oubliez pas que sa croissance se terminera vers 3/4 ans, à 1 an il a sa taille adulte, mais n'est pas encore"fini"



 
ATTENTION



Le berger Australien est sensible à certains médicaments qui peuvent être mortels.



- Les antiparasitaires de la famille des AVERMECTINE,

- Les antidiarrhéiques à base de LOPERADIDE (lopéral)

- Les anesthésiants.



Molécules interdites

IVERMECTINE, DORAMECTINE, ABAMECTINE, LORAMECTINE,IMODEPSIDE.



Molécules à éviter

MILBEMYCINE (Milbemax, Interceptor, Sentinel, Program)

MOXIDECTINE



Documents trouvés sur internet :


=> Les médicaments qui peuvent passer la barrière hématoméningée en cas de déficience du gène MDR1 sont nombreux. Les plus connus pour être dangereux chez nos chiens sont l'ivermectine (antiparasitaire) et le lopéramide (antidiarrhéique) commercialisé sous le nom d'Imodium ou de Lopéral. Il ne faut surtout pas les utiliser chez les Colleys et les races concernées par la mutation MDR1.

La protéine P-glycoprotéine est un transporteur médicamenteux qui véhicule les molécules chimiques des médicaments. Si, dans leur majorité, les molécules utilisant la protéine P-glycoprotéine codée par le gène MDR1 sont connues, toutes ne sont pas pour autant dangereuses pour nos animaux..

Sont listées ci-dessous les molécules qui utilisent cette protéine. Certaines sont connues et dangereuses (en rouge). D'autres doivent faire l'objet de précautions, notamment lors d'une anesthésie. Et d'autres, bien que pouvant être suspectées de nocivité chez un animal homozygote ou même seulement hétérozygote pour MDR1, n'ont été l'objet d' aucun rapport médical d'accident ou d'intolérance. Le doute subsiste donc à leur sujet.

Une université de l'Etat de Washington dresse un état de la situation en se basant sur les rapports émis à ce sujet par les services de santé. Nous avons réalisé une synthèse des données publiées par ces sites et disponibles sur internet, et en classant les produits incriminés selon leur degré de dangerosité. De nouvelles molécules sont, depuis, venues s'ajouter à cette liste. Citons l'Emodepside (Profender) ou le Métoclopramide (Emeprid) pour les plus récentes.







=> Les médicaments qui peuvent passer la barrière hémato-encéphalique et stagner dans le liquide céphalorachidien en cas de déficience du gène MDR sont nombreux.

ANTIPARASITAIRES. En premier lieu, tout produit contenant de l'Ivermectine est à proscrire. Cette molécule et ses dérivés se retrouvent dans les antiparasitaires (notamment dans les vermifuges). D'autres molécules contenues dans les antiparasitaires sont également toxiques pour les porteurs de la mutation du gène MDR1 (homozygotes et - à moindre échelle - hétérozygotes) : la milbemycine (contenue dans le Milbemax, souvent plébiscité par les vétérinaires), l'émodepside, la moxidectine et le spinosad.

De même, éviter certains anti-diarrhéiques (contenant du lopéramide), quelques anti-vomitifs (métoclopramide et domperidone : donc en particulier les médicaments courants Primperan et Motilium)